Notre mission

Agir au plus près de chaque université ou école pour développer le logement étudiant
  • Parce que c’est un enjeu de stratégie d’établissement en termes d’attractivité auprès des étudiants éloignés (nationaux ou internationaux) et en termes sociaux pour héberger les étudiants exclus par la pression des loyers dans les secteurs tendus.

  • Parce que le pilotage de l’accueil des étudiants n’est jamais si bon qu’au niveau où ils travaillent et vivent ensemble.

  • Parce que la dévolution de l’immobilier aux universités confronte celles-ci à des responsabilités et à des opportunités nouvelles de développement immobilier, y compris dans le logement.

Notre métier : connecter chaque établissement avec les opérateurs pertinents
  • Nous ne sommes pas un promoteur, un investisseur, un bailleur, une foncière… Nous n’avons pas de capital financier, foncier ou immobilier. Notre seul actif est immatériel, il est dans nos têtes.

  • Notre richesse tient dans le savoir-faire que nous mettons à la disposition de chaque établissement : nous savons traduire ses besoins dans une langue comprise par les opérateurs, nous voulons être des passeurs.

  • Nous ne contentons pas de parler la langue des professionnels, nous accompagnons l’établissement dans l’élaboration et dans la réalisation de ses plans de développement.

C’est possible
  • Les freins à l’action viennent parfois des freins réglementaires, mais plus souvent de l’ignorance des possibilités offertes. Ainsi, l’hébergement des étudiants fait partie des missions légales des établissements.

  • Il n’est pas non plus nécessaire à un établissement d’investir un euro en pleine propriété pour disposer de l’usage exclusif d’une résidence étudiante.

  • Dans le cadre juridique existant, sans prélèvement sur son budget, sans sacrifier non plus à la gestion locative, un établissement peut devenir attributaire exclusif de logements pour ses étudiants.

  • La relation directe et privilégiée avec un établissement peut être aussi une source de maîtrise de leurs risques et de leurs coûts pour les opérateurs. C’est pourquoi ceux-ci sont à l’écoute.

C’est maintenant
  • L’autonomie croissante des établissements tend à en faire les premiers interlocuteurs des étudiants pour des services de base, tel que le logement. Il n’est pas trop tôt pour s’organiser au niveau de chaque établissement.

  • Les regroupements d’établissement font surgir des institutions à qui la taille confère une crédibilité démultipliée auprès des acteurs politiques et économiques territoriaux.

  • La « filière » du logement étudiant évolue. Les phases amont (investissement, construction) trouvent des opérateurs privés ou publics dotés de compétences renforcées. En aval, le sourcing des usagers devient une forte valeur ajoutée de chaque établissement.

Le logement, un enjeu sociétal
  • Le modèle du campus « à l’anglo-saxonne » n’est pas le plus répandu en France. Le défi est d’insérer les logements d’étudiants dans le tissu urbain, et de favoriser l’insertion des étudiants dans la vie sociale des quartiers.

  • La conception des résidences étudiantes doit évidemment s’inscrire dans le respect des normes environnementales les plus exigeantes (HQE, immeuble à consommation énergétique neutre ou négative, végétalisation). La conception des logements et des espaces communs doit aussi entrer en résonnance avec les nouveaux usages (co-working, lieux de socialisation).

Pour remplir sa mission, CléSup’ vous propose :